Quand on voit combien tant de quartiers de Marseille sont SOS (sous occupation sarrasine), ces cris de pucelle effarouchée devant la "provocation" villente de trois ou quatre pro-israëliens, courageux ou inconscients de s’être exprimés dans un contexte occupé par la racaille glapissante et leurs soutiens rouge-bruns, pourrait faire hurler de rire.