Et revoilà Jacquo avec son plan à lui. Le plan visionnaire qui résoudra l’ensemble des problèmes de tous les pays même si au conseil de l’Europe il est démontré le contraire par les flops quotidiens. Résoudre les problèmes de conflit entre nation, il n’y croit pas lui-même. Son but inavoué est qu’une nouvelle banque mondiale serait dirigée par des financiers du type Madoff, en lieu et place du dollar et de l’euro. Avec à sa tête, la même bande de mickey bien vicelards, bien corrompus pour mener des guerres économiques comme celle qui est livrée par le FMI contre la Grèce, l’Espagne et plus récemment le Portugal. Tous les pays ne se soumettent pas : cas de la Lybie et de la Syrie. Aucun problème, on utilisera la force armée américaine, anglaise, et cocoricotte, pour les faire plier comme le ferait une bande de maffieux vis à vis d’un commerçant. Intimidations, gels de comptes bancaires, assassinats, génocide de population civile vivante et future (avec les munitions à uranium appauvri) : à l’échelle du citoyen on appelle ça du banditisme. 
Son plan barge ne convaincra que les nigauds écolos, les socialistes contemplatifs de belles idées de boyscout, les umpistes si attachés aux marchés financiers qu’ils pourraient éviscérer leurs propres enfants pour continuer à faire tourner la machine.
Il compte insidieusement arriver à ses fins en distillant discrètement ses concepts, ses visions que même un enfant de six ans devinerait. Il essaye quand même, bien que sa façon de présenter les choses est grosse, vulgaire, obscène. C’est tout à l’image de cette oligarchie qui se présente comme investie de l’intérêt général alors que dans les faits, elle penses et agit uniquement pour les siens.
Il me semble que si l’on mettait aux voix par référendum la question du souhait de sa présence en France : la réponse serait probablement non. Ce serait cependant bien trop d’honneur et d’attention accorder à ce pitre. En clair, lorsque Jacquo dit quelque chose : on laisse pisser.