Ils ont les moyens techniques de fabriquer n’importe quelles preuves.
 Ainsi cette femme de chambre travaillant régulièrement depuis 3 ans au sofitel pour un salaire de misère et logeant dans un immeuble limite insalubre , réservé à des malades du SIDA, serait en réalité une trafiquante de drogue. Des sommes atteignant 100 000 euros transitaient sur ses comptes.
 Foutaises ! Aussi grotesque que la fable de Ben Laden, ils ne reculent devant rien, pas même le ridicule....Ils s’imaginent que nous avons tous un chromosome qui merde pour croire à leurs coups montés...
Un jour cette femme sera victime d’un accident de voiture, sa vie est brisée, sa fille aussi est en danger. Elle aura été violée, humiliée, traînée dans la boue, diffamée, victime de pressions et de violences psycologique insupportables.