La très grande différence entre Peter Dale Scott et Aymeric Chauprade est que le premier propose en message d’espoir dans son livre, une voie d’émancipation, Scott est debout, optimiste et souriant, mais l’autre a peur, est profondément pessimiste, parle de la fin d’un monde, n’offre aucune perspective d’action, etc.
Et aucun nationalisme, à plus forte raison traditionaliste et crispé, chez Scott... Bien au contraire, une empathie pour les populations...
Scott n’a pas peur que la population des États-Unis soit "substituée" par exemple !
Chauprade n’a pas vraiment compris Scott, en dehors de l’évolution de la relation entre l’État profond et l’État publique...