Le discours sur l’impôt est un non-sens ou plutôt une hypocrisie sans fin.
Prenons la plus-value dégagée par le travail d’un ouvrier, posons qu’elle représente cent unités.
Sur ce "bénéfice" l’entreprise, le patronat et l’actionnariat vont "taxer" 98 unités.
L’ouvrier en "gagnera" 2, sur ces 2 unités l’État lui en taxe 1 afin d’entretenir le bien public (en principe).
Et la droite (le patronat et l’actionnariat) viendront expliquer à l’ouvrier qu’il est scandaleux que l’État lui ponctionne une unité, sans jamais évoquer les 98 qu’ils ont spoliés…