Plus généralement, il semble n’être venu à l’idée de personne que la Grèce actuelle n’est peut-être qu’un laboratoire dans lequel est testé le niveau de servilité des peuples européens actuels. En d’autres termes, si ça passe en Grèce, ça ne cassera pas ailleurs, se disent les théo-ploutocrates. Si le parlement grec n’est toujours pas en feu après la suppression annoncée de 30 000 emplois dans la fonction publique grecque en décembre prochain, les théo-ploutocrates levantins qui sont à la tête de l’Europe occupée auront le "signe fort" qu’ils attendent pour faire exactement la même chose dans les pays d’Europe de l’Ouest. En dehors des forums internet, il apparaît que la quasi totalité de la populace française est aujourd’hui résignée à voir ce qu’il peut bien rester de la France subir le même sort que la Grèce.