Accueillir la misère du monde (au lieu de partager la technologie avec les pays d’origine) pour se donner bonne conscience sans respecter l’esprit de la libération ("plus jamais la finance folle parce que nous sommes patriotes") dans un pays des 30 glorieuses (crédit publique, plan industriel et GlassSteagall), j’appelle pas ça la démocratie.
Et j’ai rien contre l’immigration. Mais elle ne représente pas une humanité en la chouchoutant au détriment des vrais sujets.