Vous associez des faits juridiquement qualifiés de criminels à des personnes qui n’ont commis ni crime, ni délit, en utilisant à dessein une thèse mensongère et fallacieuse que vous alimentez par un raccourci intellectuel nauséabond et
manipulateur mêlant la pédophilie et le viol : argument populo-crasseux que l’on retrouve fréquemment
dans les conversations de bistro. Et qui vous dessert plus qu’elle ne vous éclaire. Ayez le courage de combattre avec des preuves et pas des insinuations qui, je vous le rappelle, tombent ici sous le coup de la loi sur la diffamation. (article 29 de la loi du 29 juillet 1881). En attendant, je vous laisse sécréter votre bave.