Le plus triste c’est qu’il s’agit malheureusement d’une exception qui confirme la règle.
De plus, un non Juif n’oserait jamais parler de cette façon au risque de prendre une amende non négligeable et peut-être quelques jours de prison.
Un journaliste sur deux bafouille lorsque qu’il prononce le mot Juif. C’est vous dire l’étendu des dégâts.