Catherine Segurane l’avait déjà postée ! - Peu d’hommes à leurs côtés... ça me fait penser à l’interview d’un écrivain Algérien entendu à la radio ( je ne souviens malheureusement plus de son nom), mais il expliquait que le grand malaise, le mal profond de l’Agérie avait pour racine une haine profonde des femmes.