" personne n’a choisi."
Comme si c’était une fatalité...
On est pauvre ou on souffre simplement de souffrance sociale par la volonté durable et affirmée de ceux qui dominent.
Pas de hasard. S’il faut lutter, c’est d’abord contre les accapareurs (je ne trouve pas mieux que de reprendre le vocabulaire de la révolution de 89, tant il convient).