Cette gauche radicale doit refaire le travail de conquête du vote ouvrier, et là dessus je rejoins Zemmour. Le divorce entre la gauche et les classes populaires est assez profond - ce n’est pas en une campagne électorale, fusse-t-elle brillante, que la bascule se fera à nouveau en faveur du FDG. Le travail sera de plus longue haleine. Mais au moins avec le programme du FDG on tient quelque chose de solide, qui peut parler au plus grand nombre, et qui s’inscrit dans une dynamique positive.

Il va falloir aussi que cette gauche apporte une argumentation solide qui démonte les fantasmes sur l’immigration que partage Zemmour. Les verts ont un peu fait le travail là dessus mais sont restés inaudibles malheureusement.