Amen,
je m’en vais allumer un sièrge devant le temple de notre nouveau dieu : la banque et faire une petite prière en la gloire du marché tout puissant.
Doze n’a avancé aucun agrument, que des postulats auxquels il donne l’injonction d’y croire.
je peux lui retourner son postulat à la figure, et que font les banques et les marchés financiers sans nous et sans les Etats ? Et bien sans nous, il n’y a pas de banque ni de marché financier
Doze est un prédicateur financier, c’est un Qadarawi en cravate qui prêche sa bonne parole, ce qui est bien et ce ne l’est pas.