Ces soi-disant libéraux - qui n’ont d’ailleurs rien de libéral car ce sont les premiers à se tourner vers les états quand ils sont en faillite - me font penser aux médecins de Molière :
"- La saignée, la saignée vous dis-je ! - Mais le malade s’affaiblit... - C’est parce qu’il n’est pas assez saigné, saignez le plus encore !"