Friedman pense que "le gâteau" comme il dit est appelé à grossir éternellement, par la croissance. Or cela est impossible dans un monde fini. Quand il n’y aura plus de forêt, plus de charbon et de pétrole, que les mines de graphite, fer, laiton, etc seront vides, il aura l’air bien con avec son histoire de crayon de papier.
En plus, il néglige les conséquences de l’apparition de trust important, qui étranglent leurs sous-traitants.
Son monde idyllique est en train de détruire la planète, et il continue à en chanter les louanges.