Merci pour votre condescendance. Mais en l’occurrence l’expérience d’Harritt n’apporte rien à ma question. Si celle-ci met en évidence l’apparition de sphérules à 700 °C (à cette température et pour cette durée de chauffe, le fer reste dans son état oxydé), cela ne rejoint pas l’observation qui a été faite par RJ LeeGroup. Dans le lien que je vous donne table 3, les sphérules sont dans un pourcentage anormalement élevé (du même ordre que les poudres de béton) et leur concentration en fer atomique (Fe) est notable (Fig 21). Vos liens ne répondent pas à cela, (ni le site Bastison ?), mais je l’avais mal formulé probablement.