@ Oursquipense :
À vous suivre, on ne peut plus se fier à rien.
L’exemple des dinosaures que vous prenez (sur le suivisme) s’applique fort bien au métier de journalistes actuel. Peut-être pouvons-nous espérer qu’un historien, lui, a davantage l’envie, au contraire, de dépasser ce qui a été fait avant lui en décelant quelque chose d’inédit... Le travail de l’historien peut s’inscrire lui-même dans l’histoire. Celui d’un journaliste se périme du jour au lendemain.