<vous n’allez pas vivre à cul nu au milieu d’une tribu paumée au fin fond de la forêt amazonienne<
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Entre "vivre dépendant des aléas climatiques" et "vivre dépendant de l’explosion de réacteurs nucléaires, de la pollution (votre sang porte plus de 100 produits toxiques (voir étude Allemande sur le sang des enfants à la naissance)), du chômage, du stress",
je suis sûr qu’il y a un équilibre possible.
A condition évidemment de ne pas vouloir "un autre paradigme" tout en gardant "le même paradigme" comme il a été dit dans cette page.