"Je ne sais pas comment vous êtes tombé en émoi devant Friedman, Tocqueville, Mises ou ces autres malades mentaux."
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Nous y sommes ! Ce sont des malades mentaux, selon vous. Vous les avez lus ? Ou juste vous avez entendu des personnes dire que des personnes ont entendu dire ceci à propos d’eux ?
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Si vous dites que ces gens sont des malades mentaux, alors cela implique :
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* Qu’il faut les soigner grâce à votre modèle miracle du monde sans argent : vous n’êtes plus si loin de Staline et des grandes purges.
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* Qu’il ne faut pas les écouter, et même, pourquoi pas, les censurer. La liberté d’expression, vous connaissez ?
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* Et que part conséquent leurs disciples étant eux aussi des malades mentaux, il faut les soigner de même.
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On se rapproche du totalitarisme.
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"Peut-être une fascination morbide pour les personnalités psychotiques et les pervers narcissiques ?"
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Vous avez lu Tocqueville pour lui trouver un coté pervers et narcissique ?
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"C’est un truc qui marche très fort dans notre société, il suffit de voir
le succès de tous ces films qui mettent en scènes des psychopathes
tueurs en série ou des fous comme Napoléon Bonaparte, César ou Alexandre
Le Grand."
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Quel rapport ai-je avec ces gens là ? De plus vous faites pas d’anachronisme : ce serait bête de reprocher aux grecs antiques de ne pas voler en avion ...
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"Moi, en tout cas, je vous répond que si les modèles proposés par ces
fous vous fascinent au point que vous vous en revendiquiez sans
complexe, c’est que vous êtes parfaitement adapté au monde dans lequel
nous vivons, c’est-à-dire que vous êtes fou."
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Pourquoi serais-ce moi qui suis fou et pas vous ? Là vous vous mettez en position de conscience supérieure qui n’est pas acceptable dans un débat courtois comme celui-ci. Je ne suis pas déviant, je suis juste moi, point. Et ça
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PS : j’ai pleins d’amis.