Disons qu’il y a tellement d’approximations et de sophismes chez Marx, que celui qui s’inspire de ses pensées, se met à agir de manière inefficiente : il devient l’idiot utile du capitalisme financier.
En sabotant le capital productif (celui qui produit des biens réels), il a permis au capitalisme financier de racheter un à un tous les équipements industriels, pour en retirer de juteux profits.
Je ne sais si Marx l’a fait exprès. En tout cas, les écrits de Marx sont, du point de vue de l’analyse politique comme de l’analyse historique, bourrés d’erreurs.
Ils peuvent donc être ignorés avec profit.