C’est amusant, cette redécouverte du Grand Bond en avant. Lucien Bodard avait déjà décortiqué cet épisode en 400 pages, avec une plume incomparable, dans "La Chine du cauchemar", publié chez Gallimard en 1961 - ça se trouve chez les bouquinistes - comme suite de "La Chine de la douceur" (celle des "Cent Fleurs") sorti en 1957.
Et cela fait que nos inénarrables maoïstes ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.