Fatale, je ne fais pas de provoc. Mes questions sont à prendre au premier degré. Mettez-vous à la place des lecteurs qui ne sont pas dans votre tête et ne devinent pas spontanément ce que vous comprenez vous-mêmes à travers des sous-entendus et des métaphores. Il faut être le plus clair possible lorsqu’il est question de faire la part de la subjectivité et de l’objectivité face à des actes criminels.