Il est évident qu’en ville, le contraste de plus en plus abyssal entre les riches et les pauvres est vécu comme une provocation, non souhaitée mais patente. La frustration qui en découle engendre inévitablement du mépris et de la violence qui s’abat principalement sur ceux qui vivent parmi les frustrés du mode de vie consumériste exacerbé dans lequel nous nous noyons.
Si les riches n’existaient pas, il n’y aurait pas de pauvres !