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Lumumbiste 18 janvier 2013 13:54

D’un côté un bon nombre de médias glorifie le rappeur, récompensant son indigence par des victoires de la musique ou le célébrant par des grandes messes commercial comme le vrai journal. Le jeune du tierquar se reconnaissant dans cette mise en scène reçoit ces louanges par procuration ; le rappeur n’est-il pas un jeune, lui aussi ? n’a-t-il pas connu les misères lui aussi ? n’essaie-t-il pas de s’en sortir lui aussi.
Dans un élan divin le jeune se lance en décomposant cette phrase " le rappeur c’est moi". Le Rastignac de Bobigny, rhéteur hors pair, présente son argumentation comme tel : Lui est connu, et il est aimé des indigènes parce qu’il glorifie son terroir, moi même je suis de ce terroir et l’on m’aimera pour ça".

Le retour de la réalité.

En quoi le rap est une culture d’immigrée, petit effronté ? Parce qu’il est propagé par des indigènes ou parce qu’il pratiqué par des halogènes ? Nous en conviendrons il est très souvent indigent mais parfois étonnement spirituel. En outre la comparaison est complètement ridicule, Balzac, Céline, et pour persévérer rajoutons Baudelaire La Rouchefoucauld, grands chansonniers me semble-t-il.




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