le travail n’est pas la liberté, ce n’est d’ailleurs pas pour rien si "arbeit macht frei" ornait le fronton de camps de concentration*
(*non on va pas causer des juifs, mais de tous les autres qui s’y trouvaient, gitans, homos, opposants, handicapés)
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le travail est une corvée et n’a jamais été un épanouissement, l’activité souhaité voulue elle a été épanouissante, jamais le travail.
le travail est une nécessité, par exemple chasser pour manger, c’est du travail, contraint, oui oui oui, c’est ca ou mourir.
on tend pas la technique a s’affranchir de ce genre de contrainte en y mettant des automates a la place d’humain, et c’est une bonne chose.
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il restera alors de la place pour enfin pratiquer des activités (ou leurs absences) souhaités.
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bizouland nous voici.