Les japonais ont eu 10 jours pour répondre favorablement à l’ultimatum de Potsdam du 26 juillet 1945. Ils n’ont pas non plus répondu au deuxième ultimatum avant le lancement de la deuxième bombe. C’est malheureux pour le peuple japonais, mais qu’il envoie ses doléances au gouvernement nippon et à l’empereur.