Notre liberté ? Quelle liberté ?
Non seulement le contexte ambiant pèse sur nos existences, mais en plus, on s’est doté d’une législation et de structures asservissant d’une la population, de deux l’environnement, trois nous laissant peu de choix en terme d’autodétermination.
Illustrez s’il vous plaît de quelle liberté vous parlez..
En outre, je vous signale qu’on peut bien parler d’endettement, mais ça masque autre chose de bien plus préoccupant, ce système collectif consomme lui des ressources fossiles et qui donc ne seront par définition pas reconstituables.
Autant le crédit, l’emprunt et tout ce qui concerne le numéraire devient virtuel, autant les matières premières relèvent du réel. Je ne vous apprendrais pas qu’une fois consommées, celles-ci ne réapparaîtront pas miraculeusement. Alors la dette, qu’importe à qui elle incombe, si la matière brute n’est plus là, la créance perd toute crédibilité...
Va falloir cogiter sérieux pour trouver de quoi alimenter nos géniales civilisations ! Mais moi, je ne pense pas qu’on s’en sorte à bon compte.
bien à vous gerfaut,
loph