@Schweizer.ch :
Je ne nie aucunement ce que vous dites, et vous avez raison quand vous affirmez que tout instinct de survie collective est systématiquement disqualifié de nos jours en France et ailleurs - la cohésion sociale étant indissociable d’une certaine cohésion culturelle.
Non, je parlais de racisme, disons, a priori, abstrait, "principiel"... On peut comprendre la colère, voire l’aigreur parfois légitimes des uns, sans cautionner la haine pathologique des autres. Or une telle haine existe aussi (et dans tous les camps).
C’est pourquoi le racisme est une passion, pour ne pas dire une superstition somme toute aussi préjudiciable au combat politique bien compris que l’antiracisme bisounours obligé de nos clercs.
"Le raciste est celui qui se trompe de combat" (Senghor)... exactement comme l’antiraciste est celui qui se trompe de paix !