Laurent Obertone avait un pseudonyme en 2010. En 2013, pour publier un ouvrage susceptible de provoquer à son encontre, dans la France-des-drouats-dlom’, des violences et des représailles, il a eu besoin d’un pseudonyme et il a estimé que celui de 2010 ferait parfaitement l’affaire. Et puis voilà...