Mention spéciale à Enora Malagré (pour une fois), qui défend l’un des fondements du service public au détriment de son boss, le très républicain et anti communautaire Hanouna (dont on ne peut qu’admirer le rire explicitement viril), qui aura tant fait, tout au long de sa carrière prestigieuse, pour la liberté d’expression , mais qui pour l’occasion, curieusement, défend avec une certaine violence, la télévision commerciale basée davantage sur le chiffre !