Cette pouffiasse dégénérée ne voit que d’un oeil et ne stigmatise qu’un seul et unique groupe social à l’instar de quelques uns de ses compères loriot tels que Zemmour, Roufiol, Calvi et j’en passe : les musulmans et l’islam.

Lorsque les représentants de la république française, des grands partis politiques gouvernementaux, des hauts fonctionnaires de l’état portent la kippa pour aller se joindre à la communauté élitiste et lobbyiste qui n’existe pas, elle ne trouve rien à y redire dans la mesure où elle n’y voit dans cette configuration aucune atteinte au principe de laïcité qui pourtant est justement bafoué dans de telles circonstances car c’est la neutralité de l’état qui est remis en cause.

Ce type de personnage joue la partition qui a été confié aux journalistes en fonction de considération à caractère politique. En effet, pour donner le change contre l’uniformisation des esprits moulés dans le plâtre de la pensée unique, les grands patrons de presse accepte bon gré, mal gré qu’il y ait au sein de la communauté journaliste une diversité d’opinion d’apparence qui s’exprime dans la les limites dévolues à la liberté de penser et d’opinion. Toute violation débordant les bornes de limites fixées est susceptible d’entraîner l’excommunication de la société bien pensante. Natacha Polony ne déroge pas à la règle : elle campe un rôle et s’y tient fermement. D’ailleurs, l’iman du CRIF Chalghoumi est l’un des hérauts qu’elle admire de haut de sa soumission et qu’elle désigne sans complexe comme un modèle à suivre, un exemple à imiter. 

Natacha Polony est un agent de la pressetitution intellectuelle qui roule contre place, position et privilège en faveur de l’élite oligarchique qu’elle peine à critiquer.