Polony prend l’air d’un chien qui fait caca, juste pour nous dire que des gens qui ne méritent pas le fragile équilibre obtenu grâce aux lumières, et qui l’utilisent contre les lumières.
Plus débile encore :
Elle voudrait revenir au temps béni où il y avait du lien social et où les gens ils discutaient plutôt que de consommer chacun chez soi.
Elle réinvente l’histoire et même le présent, devant un auditoire conquis.
Le racisme est un moteur très puissant d’illusions collectives