Je serais plutôt d’avis de dire que la "société" a perverti le principe de "communauté". Elle a fonctionné comme un pis-aller, un moyen de recoller les morceaux, du mécanique en remplacement de l’organique. Mais en définitive, une "société" n’existe pas, n’existera jamais, on lui en demandera toujours trop...