il manifesto, jeudi 18 mai 2006.
« Sur les corps de certaines victimes de la
bataille de l’aéroport de Bagdad, en 2003, j’ai vu des choses étranges
et inexplicables, comme le fait que trois passagers d’une voiture
avaient le visage brûlé et sans yeux, mais leurs corps ne montraient pas
de blessures de ce genre, ni aucune trace de projectiles ». Par ces
paroles, Mahjid al Ghazali, premier violon de l’orchestre de Bagdad,
évoquait ses soupçons, au lendemain de la seconde guerre du Golfe, au
cinéaste étasunien Patrick Dillon : sur l’expérimentation possible en
Irak de nouvelles armes à énergie « non cinétique » mais directe (laser)
et à micro-ondes. Des armes « invisibles » qui lancent des électrons
très vite et très loin. Version moderne et tragiquement fonctionnelle du
fameux « rayon de la mort » proposé, inutilement, aux Usa, en 1942, par
le physicien Nicola Tesla.
http://www.dailymotion.com/video/xcokoi_star-wars-en-irak-1-2_news?start=43#.UWb_LkpOpdY