@ Kurtis
Quand le pic pétrolier fera sentir ses effets, on comprendra que produire à l’autre bout du monde comme on le fait à présent, c’est se condamner à mourir de faim. On comprendra que, dans une économie devenue purement muséale, sans industrie ni agriculture locale, des touristes ça se nourrit comme des habitants. On comprendra que les services, en fin de compte, ça ne se mange pas plus que les billets de banque !
Votre raisonnement est théoriquement juste... abstraction faite de la réalité, énergétique en l’occurrence.