Remettons les choses à l’endroit :
1. Le déficit permet à la population de payer des impôts, et pas l’inverse
2. Les crédits font les dépôts, et pas l’inverse
3. Une petite fille n’est pas un petit garçon
4. La démocratie n’est pas le parlementarisme
Pour revenir sur le premier point : évidemmement qu’il y a du déficit, il faut bien créer l’argent à un moment donné. M. Cohn-Bendit, ce parangon de la liberté, appelle l’indépendance monétaire d’une nation la planche à billet ; quel pitre !
Le problème, c’est que quand on emprunte son propre argent avec intérêts, le déficit résultant se transforme en DETTE. Tout est là, l’argent aurait du rester un bien public. Il n’y a jamais eu autant de pognon en circulation que depuis que les banques privées ont mis la main dessus : 12% par an de masse monétaire supplémentaire depuis 10 ans ! Comment il appelle cela le père Cohn-Bendit ? La planche de salut ?!