Non ce n’est pas un site de Chouard, j’imagine qu’on peut en trouver aussi et des plus complète.
Sinon une chose à noter c’est que des expérience de ce type existe en France, budget participatif, une participation à la reflexion sur les OGM, mais on est très en retard sur ce thème ;)
Sinon je n’ai pas compris votre dernière question, mais entre le choix d’etre "autonome" c’est à dire écrire SON droit et être hétéronome et subir le droit écrit par un autre... Je pense que le choix est vite fait. ;)
En gros les principes qui ressortent des différentes expériences :
-volontariat (on ne peut pas forcer les gens)
-Bonnes informations, qui présente et quels informations auront-il ?
Un animateur « neutre » chargé d’animer les débats. (Le rôle de l’animateur (ou pas d’animateur) neutre est centrale
pour moi.) Dans certaines expériences il est formé, dans d’autres on le
choisit, des fois on le mentionne même pas.
-Motivation (comment on choisit les personnes exemple : colombie britanique)
-Indemnité,
crucial, car ce point peut écarter une part de la population plus
pauvres. Donc garde d’enfants, et tout frais liées à ce travail en plus
de l’indemnité journalière est crucial.
-mis à disposition de secrétaires dans certains cas. (essentiels afin de compenser des lacune par exemple informatique).
-Un
autre point qui différencie les session de 3 jours d’affilé et espacé
de plusieurs jours est cruciale, car il est démontré que celle qui sont
espacé sont plus juste, car elle permettent à la personne de pouvoir
sonder son entourage et affiner son analyse en cherchant d’autres
informations auprès de son entourage par exemple.
-Après il y a aussi l’idée de faire
différents groupes de travail sur différents thèmes, utilisé dans le
sondage délibératif. (C’est pas assez détaillé pour voir l’intérêt en
détail)
-Un autre point, les sessions sont télévisé pour certain cas, (ça me semble plus transparent et informatif)
-Mise à disposition d’un endroit où le public puissent emmètre des avis. (facebook, twitter, un forum)
-Il y a aussi l’idée que l’assemblée puissent s’informer auprès « d’expert de son choix » dans certains cas.
Source : Yves Sintomer "petite histoire de l’expérimention démocratique"