S’il y a chez moi des regrets c’est sûrement de ne pas connaître les autres langues.
J’aurais bien aimé, étant plus jeune, suivre les injonctions d’un Gargantua à son fils Pantagruel qui lui conseillait vivement d’apprendre le latin, le grec, l’hébreu, l’arabe pour étudier les textes sacrés dans leur langue d’origine.
Mais bon, faut croire qu’on a beaucoup moins de curiosité qu’à la Renaissance.
Alors, pour me consoler, je me dis que, quand même, je suis intégré à la mondialisation en parlant une pâle copie de la langue de Shakespeare (anglais de la City, du rap US ou des sitcoms US, versions pauvres).