Les auteurs de ce reportage semblent pâmés devant Bill Gates, Kid Dotcom, Mark Zuckerberg ou encore Steve Jobs mais ne disent pas un mot de Julian Assange, Bradley Mannings ou Edward Snowden, qui ont su faire usage de leur maîtrise technique en faisant d’Internet, un combat autrement plus héroïque et altruiste que des jeux contre des dragons virtuels.
Mais peut-être suis-je hors sujet ?