Un point sur Fahrenheit : Dans ce
roman la télé interagit avec le téléspectateur et constitue une
famille de substitution, Elle est à rapprocher du site facedebouque
et des internaute qui possèdent des milliers d’amis virtuels.
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Sur
la téléréalité :
Avec la multiplication des chaînes de la
TNT, on assiste à une multiplication des programmes pour abrutis (et
pour les abrutir encore plus si c’est possible). Le dernier des
hommes affalé devant sa télé, détruisant des millénaires de
civilisation en se goinfrant de soda et de malbouffe. l’abrutissement
consentit et désiré. L’ingénierie sociale à son plus haut degré
de raffinement. Balancez la bombe, qu’on n’en parle plus.