• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


En réponse à :


12 votes
l'argentin l’argentin 30 juillet 2013 21:15

Pour vous Vaquette (concernant Chavez) car je ne vous connais pas personnellement mais votre personnage transpire la jalousie, la coquetterie et l’ auto-fellation sous couvert d’ humour, à plein nez ; mais je ne suis évidemment sûr de rien ! smiley 

Y’ en a marre d’entendre des journalistes et des ignorants salirent l’image d’un des plus grands homme de ce début siècle, CHAVEZ, un petit bilan sérieux s’impose :

"Depuis plus d´une décennie, certains grands médias ont diffusé une litanie de mensonges concernant Hugo Chavez. Obéissant à d´autres intérêts que ceux d´un monde meilleur pour les peuples, ils ont fabriqué des informations pour inculquer à leurs audiences l´image du « dictateur populiste ». Pourtant, ils n´ont pas vraiment expliqué pourquoi ni comment ce surprenant dictateur a vaincu ses adversaires politiques quinze fois sur seize dans les urnes, résultats reconnus sans équivoque par tous les organismes internationaux.

Quant au « populisme », c´est le mensonge par omission auquel sont livrés ces grands médias, à moins que le « populisme », ce soit par exemple alphabétiser un million et demi de citoyens, réduire le taux de malnutrition enfantine de 40%, faire passer de 6 à 13 millions le nombre d’enfants scolarisés et faire passer l´enseignement secondaire de 53,6% à 73,3%, de 895.000 à 2,3 millions le nombre des étudiants universitaires, que ce soit créer 7.873 centres de santé, augmenter le nombre de médecins de 400% réduire de 49% le taux de mortalité infantile, opérer de la cataracte un million et demi de condamnés à la cécité et améliorer l´espérance de vie de 72,2 à 74,3 ans ?

Etre « populiste », c’est aussi baisser le taux de pauvreté de 42,8 à 26,5% et celui de la pauvreté extrême de 16,6 à 7%. Suivant son coefficient GINI, l´Indice de Développement Humain (IDH) du Programme des Nations Unies (PNUD) classe le Venezuela comme le pays sud-américain où l’inégalité est la plus faible.

Etre « populiste », c’est également augmenter les budgets sociaux de 60,6%, faire passer le nombre des bénéficiaires des pensions de retraite de 387.000 à 2,1 millions, construire 700.000 logements populaires, rendre un million d´hectares de terres à leurs ethnies originaires, remettre trois millions d´hectares de terre aux petits agriculteurs, augmenter la consommation alimentaire de 81%, faire passer de 250.000 à cinq millions le nombre d’enfants recevant une alimentation à l´école, impulser 50.000 coopératives populaires, augmenter le salaire minimum de 2.000% (16 à 330 dollars), offrir aux adultes en âge de retraite et n’ayant jamais travaillé 60% du salaire minimum comme retraite, 80% pour les femmes et les handicapés physiques, réduire la dette publique de 45 à 20%, ou améliorer le PIB par habitant de 4.100 à 10.810 dollars

Etre un « populiste nationaliste », c’est sans doute récupérer la souveraineté énergétique face aux monopoles pétroliers, aux secteurs électriques et de communications et lancer ses propres satellites. C’est sans doute se retirer du FMI et de la Banque Mondiale en remboursant ses dettes de manière anticipée. C’est sans doute arriver à un taux de croissance de 5,5%, l´un des meilleurs au monde.

Et le « populisme international » consiste évidemment à soutenir le continent américain par 8.800 millions de dollars en dons, financements et aide énergétique. A comparer avec les 3.000 millions de l´administration Bush.

C’est sans doute créer Petrocaribe (Pétrolière Caraïbes) qui offre à 90 millions d´habitants de 18 pays d´Amérique Latine et des Caraïbes ou même à des communautés défavorisées des Etats-Unis un pétrole subventionné entre 40 et 60% pour leur indépendance énergétique. Ou créer avec huit pays une Alliance Bolivarienne pour les Peuples de notre Amérique (ALBA) afin de lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale. Ou créer avec 33 nations la CELAC (Communauté des Etats Latino-américains et des Caraïbes) pour s´émanciper de la tutelle des Etats Unis et du Canada.

Chavez a laissé au peuple bolivarien du Venezuela une immense lueur d´espérance. Les programmes de santé, d´éducation, d´alimentation et de logements sont bien en marche. Ce n´est pas Henrique Capriles, gouverneur d´un des Etats du pays avec les pires indices sociaux qui pourra facilement les convaincre qu´il fera mieux. Alors qu’il a déjà fait ses preuves en leur retirant les conquêtes sociales acquises pour avantager une minorité d´oligarques. " (texte tiré d’investigaction)




Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON