En dix minutes, la tâche n’est pas évidente. Je l’ai trouvé un peu "diesel" : très mou du genou les cinq premières minutes, puis très convaincant.
J’ajouterais que la "morale chrétienne" est justement intervenue pour compenser l’individualisme engendré, pour garder un semblant de cohésion ici-bas.
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PS : Yoananda, lorsqu’Alain de Benoist parle du nominalisme d’Occam, il rejoint totalement ce que vous disiez sur les Franciscains. Vous développez juste un détail d’une "généalogie" qu’il ne pouvait développer en seulement dix minutes. Mais votre rappel est important, j’en conviens.