J aurai tendance a choisir la solution pragmatique aussi :
comme pour l avortement, la liberalisation des drogues....
Ce sont des moeurs acceptés par la société et les interdire n empeche pas le peuple de les pratiquer.
On peut donc se poser la question du role de l état la dedans,
si ces interdictions ne sont jamais respectées, et si les conséquences de celles ci sont plus néfastes que leur libéralisation.
Certains choisiront la réponse moraliste chrétienne ou kantienne :
Il ne faut jamais avorter, ni prendre de drogues, ni aller au putes, ni mentir.....
Au rejet de ces actes, mauvais dans leur essence (vendre son corp, le détruire avec des produits, ou tuer un début de vie humaine est mal)
On pense au long terme, a la légitimation possible que cette acceptation pourrait entrainer, donc a une possible prolifération.
D autres choisiront la réponse pragmatique , utilitariste :
Il faut que l on accepte l avortement , les drogues, la prostitution, le mensonge dans certaines conditions....
Cela évite les avortements a l aiguille a tricoter, les drogues frelatées, les putes agressées et toute l insécurité que peut entrainer ces pratiques rendus illicites.
Mais ce n est que du court terme, et leurs acceptations n entrainent elles pas leur proliférations ?
Les accepter tout en rejetant leurs principes ?