Sous des dehors brillants, Jean Robin poursuit sans désemparer sa quête du Saint Graal dans la nuit profonde de ses rêves. Jaloux du succès croissant de la dissidence authentique incarnée notamment dans l’hexagone par Alain Soral, Dieudonné, Collon, Chauprade, Asselineau, Chouard, Meyssan et Hillard, notre chevalier noir du soliloque parcourant à bride abattue, en long, en large et en travers le désert de Gobi, un âne sur le dos et le cul à l’air, n’aura jamais de cesse de revenir sur le terrain de ses illusions de grandeur et de reconnaissance marquant ainsi la folie d’un sagouin convaincu par l’idée qu’il pourrait aller loin en montant sur la scène de son délire. Que nous dit-il de singulier ? La France est de gauche. L’UMP est un parti de gauche. Le PS est un parti de gauche. La droite française est à gauche. Le danger, c’est l’islam et les musulmans. Les juifs sont des victimes de l’état français et de la classe politique. Sa grille d’analyse est contaminée par les miasmes morbides de ses obsessions pathologiques.