Umberto Ecco n’est pas toujours très intelligent. C’est un universitaire de bonne compagnie mais à l’esprit étroit, sans vision pénétrante. Le genre de professeur de sagesse convenue qui impressionne surtout les sots. On en a aussi quelques spécimens en France. Pas de mauvais bougres, mais de simples machines à penser dans le sens du vent dominant.