Chaque livre de M. Finkielkraut est comme tout livre, une partie de lui : la "déchéance de la pensée", c’est la sienne ! "L’identité malheureuse" ; c’est sa triste et stérile judéité hors sol.
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Dans le fond il est né dans la haine paternelle de la France, il l’oriente maintenant vers les musulmans, mais nous reconnaissons toujours la même. Il aura passé sa vie à haïr. Fuyons ce mauvais esprit.