Qualifier en
permanence ces taxes d’"écologiques" n’est certainement pas la
meilleure manière de communiquer l’étendue et l’urgence du problème, car la
situation c’est ça :
http://blogs.mediapart.fr/blog/yt75/030713/transition-energetique
C’est à dire le fait que la crise actuelle est aussi si ce n’est surtout un
monstrueux choc pétrolier qui ne fait hélas que commencer : celui du
"pic" (maximum de flux, de débit) d’extraction de pétrole auquel nous
sommes actuellement.
Il serait peut-être temps d’être un peu au courant ...
Après clairement cette taxe est une sorte de prototype de la maladie de la
sur-complexité.