Henri Guaino est fidèle à lui-même en se posant comme l’un des derniers représentants de l’esprit gaulliste (qu’il a enterré définitivement) : arrogant, sûr de lui, menteur par omission, roublard, tendancieux, corporatiste (soucieux de défendre les intérêts de son camp), clanique et pathétique.
Les mensonges qui s’extirpent de la bouche de Guano ne résistent pas au déluge de vérités assénés par son contradicteur qui ont l’effet d’une fessée que le maître administre à l’élève indiscipliné. Il a pris une rouste qu’il n’oubliera pas de sitôt.