J’ai remarqué cette constante épouvantable qui revient en effet périodiquement consistant à amalgamer l’arnaque mortifère représentée par la construction du sous empire UE, par sa monnaie et la thématique raciste frisant la schizophrénie typique de l’extrême droite capitaliste.

En dehors du cas le Pen, on comprend aisément pourquoi les politiciens de tous bords, à commencer par les membres de l’UMPS, soutiennent des deux mains et de la tête cette machinerie à broyer du vivant dont les mamelles procurent du lait à profusion aux pourceaux les suçant à la diable on en redemandant toujours plus et encore davantage.

Le politique est un vampire qui n’a que faire des vivants, excepté de boire leur sang jusqu’à la dernière goutte pour se régénérer, puis recommencer ainsi dans la joie et la bonne humeur tant que la chair fraîche reste disponible à bon compte.

Alain Soral a bien raison de se défier de la fille le Pen qui fricote depuis longtemps avec le sayanim Alliot la poussant à faire des courbettes à la communauté du CRIF.

Les attaques gratuites et virulentes de la fille de Jean Marie à l’endroit des opprimés présentés comme des parias qu’il faut réduire en pâtés de campagne et jeter aux chiens sont la marque d’une violence extrême et affligeante que je désapprouve et condamne définitivement.

Je préfère de loin m’en remettre à un Asselineau qu’à tous ces enfoirés corrompus jusqu’à la moelle qui ont le vent en poupe et qui haranguent la foule à l’image de l’arène où le taureau est soumis à la loi d’airain des picadors qui écorchent son corps avant que le toréador vienne lui porter l’estocade fatale.