Je me suis déjà interposé à deux reprises et la seconde fois j’ai été conduit au poste de police sous un prétexte fallacieux mis au point par la BAC cynophile départementale. On m’a placé en garde-à-vue et j’ai passé la nuit dans une étroite cellule crasse, disposant d’un WC turque dépourvu de chasse et regorgeant d’urines mélangées à l’odeur acide, ainsi qu’un banc poisseux en pierre.
Je ne vous raconte pas la suite, mais au petit matin, j’ai été conduit dans un laboratoire hospitalier légal où on m’a fait pisser dans une fiole pour vérifier la composition de mes urines comportait des traces de stupéfiants.
Les forces du désordre de la BAC étaient animé par l’appât du gain et le désir de vengeance.
Échec sur les deux tableaux.